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Loisirs/Stages CHATELLERAULT
Conférence "Destination Collection"
3 rue Clément Kreps 86100 Châtellerault
3 rue Clément Kreps 86100 Châtellerault Le Grand Atelier - musée d'art et d'industrie
Le Grand Atelier, musée d'art et d'industrie vous propose une conférence : La production des armes à feu de cavalerie en France, 1870-1940.
Au XIXe siècle, la cavalerie française utilise des modes d’action qui peuvent paraître contradictoires : le combat à l’arme blanche en offensive ou dans la charge ; l’utilisation de l’arme à feu en défensive ou dans l’engagement à pied. Mais à la différence du fantassin, le cavalier n’a pas pour unique et « meilleur ami » son fusil, puisque le sabre, mais aussi la lance, la carabine ou le révolver peuvent faire partie de son armement individuel, voire le fusil-mitrailleur ou la mitrailleuse
La conférence se propose ainsi de s’intéresser à la place des armes à feu dans la cavalerie française entre 1870 et 1940. Mais plus que de présenter un catalogue technique des dotations, elle souhaite en mesurer l’évolution à l’aune de leur production nationale et de leur emploi sur le champ de bataille, condamnant de fait les armes réglementaires de cavalerie au profit de nouvelles armes standardisées.
I**ntervenant : Lieutenant-Colonel Jean BOURCART**
Officier d’active de l’armée de Terre, le lieutenant-colonel Jean Bourcart est actuellement chef du bureau Terre au Service historique de la Défense à Vincennes.
Docteur en histoire de l’Université de Lorraine, il a publié Les cavaliers de Lunéville aux avant-postes de Lorraine annexée, 1871-1918, une page d’histoire de la cavalerie française d’extrême frontière (Gérard Louis, 2015). Il conduit différents travaux liés à l’histoire de la cavalerie française ou à celle des deux guerres mondiales. Il s’intéresse en outre au rôle et à la place des militaires dans la Résistance.
La conférence se propose ainsi de s’intéresser à la place des armes à feu dans la cavalerie française entre 1870 et 1940. Mais plus que de présenter un catalogue technique des dotations, elle souhaite en mesurer l’évolution à l’aune de leur production nationale et de leur emploi sur le champ de bataille, condamnant de fait les armes réglementaires de cavalerie au profit de nouvelles armes standardisées.
I**ntervenant : Lieutenant-Colonel Jean BOURCART**
Officier d’active de l’armée de Terre, le lieutenant-colonel Jean Bourcart est actuellement chef du bureau Terre au Service historique de la Défense à Vincennes.
Docteur en histoire de l’Université de Lorraine, il a publié Les cavaliers de Lunéville aux avant-postes de Lorraine annexée, 1871-1918, une page d’histoire de la cavalerie française d’extrême frontière (Gérard Louis, 2015). Il conduit différents travaux liés à l’histoire de la cavalerie française ou à celle des deux guerres mondiales. Il s’intéresse en outre au rôle et à la place des militaires dans la Résistance.
